e Baiser de l'Homme Mort

Huile sur papier/bois - 100 x 70 - 2000.

Que de projets réalisés pour cette couverture avant d'en trouver une qui convienne ! Elle illustre le roman de Robert Weinberg du même nom, chez Oxymore, qui conte la réincarnation d'un puissant mage de l'Ancienne Égypte, pour l'accomplissement d'une tâche mystérieuse que lui seul connaît... Avec cette peinture, je me suis remis à l'huile, que j'avais délaissé pendant plusieurs années pour l'aérographe. Quel bonheur de sentir à nouveau les odeurs de térébenthine envahir mon modeste logis, et de manipuler cette matière sensuelle, presque vivante à force de caprices et de comportements mystérieux que seuls quelques alchimistes des temps anciens ont su maîtriser totalement... Mais la rumeur selon laquelle la térébenthine est une drogue à accoutumance est sans doute vraie, vu que je compte bien ne pas en rester là...